Avancer en collectif : Carole rejoint l’équipe
3 février 2024
Faire jaillir les talents
25 février 2024Inspiré de la chanson « La tristitude » de Odelaf
La tristitude
C’est quand on te demande pour hier de recruter,
Alors que t’as même pas un seul cv
C’est quand tu dragues partout des candidats,
Et que le manager te demande « Et heu, tu fais quoi ? »
Et ça fait mal
La tristitude,
C’est quand on te dit « sur l’terrain on t’voit pas souvent »
Que depuis 7 h du mat’ tu es bien là pourtant
Quand après 5 ans enfin, la branche signe sa nouvelle CC,
Et que toi t’as juste 1 mois pour tout piger et appliquer
Et ça fait mal
La tristitude
C’est quand le CSE demande une 3ème expertise
La veille des vacances quand tu commences tes valises
C’est quand enfin t’as bouclé ton plan de formation à 3 ans
Et que tu apprends, « priorité oblige », que ton budget est réduit à néant
Et ça fait mal, mal, mal
La tristitude
C’est quand tu donnes tous ces mouchoirs dans ton bureau
Pour tous ceux qui viennent en mode « allô maman bobo »
Tu rassures, conseilles et accueilles les doutes
T’aimerais tellement, toi aussi, que quelqu’un t’écoute
Et ça fait mal
La tristitude,
C’est quand le 20 décembre, après des mois de relances effrénées,
Tu pleures devant les « 20 % d’entretiens pro réalisés »
C’est quand on dégaine le mot « harcèlement » à tout va,
T’en peux plus des enquêtes, le harcelé en vrai ça va bientôt être toi
Et ça fait mal
La tristitude,
C’est quand la paie est virée sur le mauvais compte
Quand tu oublies un doc confidentiel dans l’imprimante
C’est quand ton boss te missionne « Chief happiness officer »
Alors que pour toi l’bonheur, ce serait de sortir une fois à l’heure
Et ça fait mal
La tristitude,
C’est quand le code du travail change pour la 6ème fois
Que t’en étais resté au 20ème alinéa
Quand tu reçois une lettre du tribunal en recommandé
Ou bien l’inspecteur qui débarque sans même frapper
Et ça fait mal, mal, mal
La tristitude,
C’est quand on t’appelle dès qu’il y a un problème de relation
Sans même avoir tenté la moindre solution en amont
Quand les patates chaudes t’arrivent par paquet de douze
T’aurais bien besoin des antioxydants de l’arbouse
Et ça fait mal
La tristitude,
C’est quand tu ne sais plus quelle règle faut appliquer
La hiérarchie des normes, t’as toujours pas pigé
C’est quand faut déclarer l’AT fortuit du lundi matin
Et que comme par hasard y’a pas un seul témoin…
Et ça fait mal
La tristitude,
C’est quand t’entends « Si t’as besoin de rien, appelle les RH »
Quand c’est à un gruyère que ressemble le SIRH
C’est quand tu fais le grand écart entre élus et direction
Quand des participants se désistent la veille d’une formation
Et ça fait mal
La tristitude,
C’est quand la grille salariale est devenue obsolète au fil du temps
Tu cherches à allier la chèvre et le chou pour rester cohérent
C’est quand le salarié à qui t’as dit non à la RC
S’excuse le lendemain de d’informer de son arrêt
Et ça fait mal, mal, mal
La tristitude
La tristitude
La tristide attitude
Alors pour pouvoir agir sur votre environnement et retrouver la joie-titude et la juste attitude
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Et pour lire les autres « tristitudes » :
- La tristitude du manager
- La tristitude du commercial
- La tristitude de la communication
- La tristitude de la gestion du temps
Com-Hom
Carole Vial :
18 ans d’évolution dans la fonction RH et management, avec une constante : accompagner mes collègues dirigeants et managers dans leurs enjeux relationnels, décisionnels et de changement en leur offrant un espace de travail ressource : tantôt d’expertise, de conseil, ou de co-construction de solutions, tantôt d’écoute, de coopération facilitée ou de médiation.
Ce goût du lien humain et mon parcours de vie m’ont conduit à creuser ce sillon du « mieux être pour mieux performer ensemble ». Formée au coaching individuel et d’équipe, au codéveloppement et au bilan de compétences, j’ai décidé d’embrasser pleinement le métier de l’accompagnement, portée par 3 moteurs :
- Le constat que beaucoup de nos difficultés tiennent à notre communication et notre manière d’interagir, y compris avec nous-mêmes ;
- Une croyance dans les capacités d’évolution de chacun d’entre nous ;
- Une envie farouche d’aider les personnes à (re)trouver du pouvoir d’agir et (re)devenir actrices (co)responsables de leur réalisation individuelle et collective.
Je trouve dans Com-Hom : des valeurs fortes partagées, et incarnées auprès de chaque client : écoute, bienveillance, exigence. Une équipe riche de talents complémentaires. Une énergie porteuse d’ouverture, de créativité, et de sens… pour mieux (ré)concilier performance et intelligence du cœur.
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